Jailu

Jailu

Mardi 24 février 2009 à 18:52

Genre: Autobiographie

Résumé du site Evene:
'Chagrin d'école', dans la lignée de 'Comme un roman', aborde la question de l'école du point de vue de l'élève, et en l'occurrence du mauvais élève. Daniel Pennac, ancien cancre lui-même, étudie cette figure du folklore populaire en lui donnant ses lettres de noblesse, en lui restituant aussi son poids d'angoisse et de douleur. Le livre mêle les souvenirs autobiographiques et les réflexions sur la pédagogie, sur les dysfonctionnements de l'institution scolaire, sur le rôle des parents et de la famille, sur le jeunisme dévastateur, sur le rôle de la télévision et des modes de communication modernes, sur la soif de savoir et d'apprendre qui, contrairement aux idées reçues, anime les jeunes d'aujourd' hui comme ceux d'hier.

Mon avis: J'ai eu du mal à la lecture de ce livre, je l'ai lu relativement rapidement, j'ai plutôt bien aimé mais, il y a un mais. J'ai eu parfois l'impression de ne pas être "concerné", peut être car le récit est parfois trop personelle ou trop général, que je ne suis ni instit' ni ex-"cancre". C'est la sensation que j'ai eu, le livre est très morcelé et ça m'a un peu gêné (alors que pas du tout pour Comme un Roman).
Il faut retenir que c'est un livre très intéressant, avec des vérités à chaque page, beaucoup de passions et de pédagogie!

Samedi 21 février 2009 à 23:09

Genre: Roman

Quatrième de couverture (édition livre de poche):
Qu'est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd'hui encore? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d'Or version Second Empire? L'existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s'expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l'intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers « assommoirs » - un accident de travail, l'alcool, les « autres », la faim - ont finalement raison d'elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même. Relisons L'Assommoir, cette « passion de Gervaise », cet étonnant chef-d'oeuvre, avec des yeux neufs.

Mon avis: Mon premier Zola, ça ne serra pas le dernier. J'ai eu envie de lire celui-ci après avoir lu la critique de b0uquinS (merci). Il est difficile de parler de ce genre de livre, certains le font beaucoup mieux. J'ai été conquise dès les premières pages, je me suis rapidement pris de sympathie pour Gervaise et j'ai eu envie de la "suivre". La scène du lavoir ma conquise, j'avais l'impression d'y être. Tout au long du livre, on a l'impression d'être avec les personnages, les descritptions sont pourtant loin d'être interminable mais l'ambiance est là! J'ai toujours espéré que ça s'arrange pour l'héroïne, il y a parfois des lueurs d'espoir et on retombe toujours plus bas, et pourtant "s'il n'y avait pas eu ça, s'il ne s'était pas passé ça" etc etc! La fin m'a parru plus longue, Zola décrit un cercle vicieu. J'ai eu beaucoup de peine pour le personnage de Lalie, j'en aurait pleuré sur sa dernière scène! On aimerait une fin plus heureuse, mais "c'est la vie".

Lundi 16 février 2009 à 15:19

Genre: Récit

Quatrième de couverture:
" Je suis née dans la Chine de la misère et des larmes. Petite fille, j'ai souffert et pleuré de bonne heure. J'étais jolie : ce n'est pas un mérite, ce fut une malédiction. Laide et difforme, je n'aurais sans doute pas été mariée de force à l'âge de treize ans ". Choisie pour son exceptionnelle beauté, Chow Ching Lie est contrainte d'épouser l'héritier d'une des plus grosses fortunes de Shanghaï. Elle incarne ainsi, sous le règne de Mao Tsé-Toung, le drame de la femme chinoise et de son asservissement séculaire. D'un bouleversement à l'autre, Chow Ching Lie est donc soumise à rude épreuve. Heureusement, son don pour la musique la sauve. Envers et contre tout, elle poursuit ses cours de piano et entre au Conservatoire. Artiste et virtuose, elle voit alors s'ouvrir à elle une carrière internationale.

Mon avis: J'ai mi beaucoup de temps à lire ce livre, je n'avançais pas. La façon dont les chapitres sont résumés en quelques mots/phrases à leur début n'arrivait pas à aiguiser ma curiosité. Le début m'a semblé très long avant la "vraie arrivée" de Chow Ching Lie etle récit de sa vie à elle, non pas que celui de sa famille soit inintéressant. Ce livre met en valeur un moment charnière de l'histoire de la Chine au travers la vie de cette petite fille, puis jeune femme. Le fait que les bouleversements historiques, politiques influent d'une façon telle sur le destin de Chow Ching Lie m'a gêné. J'avais parfois l'impression de lire un livre d'histoire. Il s'agit d'un récit et je pense que c'est que qui m'a gêné, ce que j'aime dans les histoires sur la Chine, c'est la beauté, la poésie, dans ce livre tout est trop concret puisque vrai. J'avais lu beaucoup de bonne chose sur ce livre, pour ma part j'ai été déçu bien que ce soit une oeuvre très riche.

Lundi 9 février 2009 à 16:48

Tout à l'heure je suis allée à la fnac, j'y aller pour m'acheter une place de concert et un étui pou mon nouvel appareil photo. j'ai bien sûr fait un tour apr le rayon "livres" et je n'ai pas pu m'empêché d'acheter!lol

J'ai pri:
Le récital des anges de Tracy Chevalier
L'innocence de Tracy Chevalier (genre je suis pas fan de Tracy Chevalier)
et
La fenêtre panoramique de Richard Yates (Les noces rebelles quoi!lol)

Mon chéri en me voyant arrivé à la caisse me dit: "mais t'en as pas d'autres à lire? - Euh si si mais comme ça j'en aurai d'avance!mdr"

Effectivement je suis en train de lire Le Palanquin des larmes mais j'ai du mal à avancer, par la suite je veux lire L'Assomoir puis Marley et moi puisque le film sort en mars je crois. Il y a bien sûr une centaine de livres chez moi que je n'ai jamais lu...lol

Voilà un petit article 3615 life mais j'avais envi de partager mon enthousiaste avec vous oh fidèles lecteurs!lol

Allez sur le blog de ma maman il est top! Laissez lui des messages ça lui fera plaisir

Dimanche 1er février 2009 à 15:36

Genre: Roman

Quatrième de couverture:
Désireux d'orner le smurs de sa nouvelle demeure parisienne, le noble Jean Le Viste commande une série de six tapisserie à Nicolas des Innocents, miniaturiste renommé à la cour du roi de France, Charles VIII. surpris d'avoir été choisi pour un travail si éloigné de sa spécialité, l'artiste accepte néanmoins après avoir entrevu la fille de Jean Le Viste dont il s'éprend. La passion entraînera Nicolas dans le labyrinthe de relations délicates entre maris et femmes, parents et enfants, amants et servantes.
En élucidant le mystère d'un chef-d'oeuvre magique, Tracy Chevalier ressucite un univers de passion et de désirs dans une France où le Moyen Age s'apprête à épouser la Renaissance.

Mon avis: ça y est, c'est officiel je suis fan de Tracy Chevalier, après une lecture je ne pouvais le revendiquer, après deux je crois que je peux! J'ai été enchanté par cette lecture. Tracy Chevalier à l'art de vous faire voyager à travers le temps. L'écriture et fluide, le texte est facile à lire. Les destins sont mêlés autour de ces tapisseries en devenir. Il y a une partie "technique" qui nous apprend était conçu les tapisseries, des ébauches au tissage, c'est très intéressant. Les personnages sont merveilleusement dessinés, de vrais portraits, ceux des femmes sont particulièrement réussis et j'aurais aimé plus entendre leur voix, bien que la parole est très réapparti. En effet, chaque personnage est narrateur, ce qui donne beaucoup de vie au récit, et les changements de point de vue sont appréciable! J'aurai aimé que le livre soit plus long, j'adore cette univers, j'avais préféré La jeune fille à la perle mais celui-ci est très bon également, j'en lirai d'autres!!!!! Les tapisseries existent réellement, Google images

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