Partenariat avec les maisons d'éditions Le Livre de Poche et Livraddict.
Merci à Le Livre de Poche de m'avoir permis de découvrir ce livre et merci à Livraddict pour leur travail!

Genre : Jeunesse

Quatrième de couverture :
Bastien Baltazar Bux a douze ans. Orphelin de mère, élevé par son père absent, il s'évade de son quotidien grâce à sa passion pour la lecture. Un matin, il entre dans une librairie et dérobe un livre ancien. Un livre pas comme les autres, qui décrit un monde peuplé d'elfe et de monstres... Mais le Pays Fantastique est rongé par un mal étrange et vit une lente agonie. Un héros, Atréju, ets nommé par la Petite Impératrice, souveraine incontestée, pour accomplir une grande quête : trouver un remède afin de sauver le monde. Et voilà que Bastien, irrésistiblement passe de l'autre côté du miroir et entre dans l'histoire, l'histoire sans fin...

Mon avis : J'ai un avis un peu mitigé sur ce livre. J'ai eu envie de le lire car je regardais le film quand j'étais petite, film dont j'ai assez peu de souvenir au bout du compte, mais ce partenariat était également le moyen de me rafraichir la mémoire. La première partie du roman est la partie qui a été adapté et je l'ai lu assez rapidement avec le plaisir de retrouver les images qui m'avaient plu enfant. La deuxième partie a été plus laborieuse, Bastien entre dans l'histoire et les deux premiers chapitres (à peu près) de son arrivée dans l'histoire m'ont semblé longues et ennuyeuses! Après l'aventure a repris un rythme qui me convenait mieux, notamment avec l'arrivée de nouveaux personnages. La différence entre la première et la deuxième partie tient surtout de la position des personnages, dans la première partie Bastien est spectateur pour devenir ensuite non seulement acteur mais héros de l'histoire. Un héros bien antipathique et capricieux par ailleurs. Une autre différence encore, dans la première partie Atréju rencontre des personnages que l'on suit le temps d'un chapitre, dans la deuxième partie, les personnages sont présents sur plusieurs chapitres, ce qui m'a bien plu. Dans l'ensemble j'ai trouvé que les personnages bien que physiquement bien décrit (cela vaux surtout pour les créatures!), avaient parfois un caractère trop constant et prévisible, ce qui a valu que je ne me suis jamais attachée aux personnages. Dans la première partie et à la fin du roman, nous avons l'histoire dans la vie réelle et tout du long l'histoire du Pays Fantastique, les allées/retours se font facilement grâce aux changement de police d'écriture, quand nous sommes dans le monde des humains, la police est en gras. J'ai aimé également les gravures à chaque début de chapitre mettant en valeurs une lettre de l'alphabet entouré de dessin qui représente par exemple un personnage qui va intervenir. J'ai aimé la vision que l'auteur à de son histoire et des histoires. Ce livre avec ces différentes mises en abimes, sa construction constante, est un trésor d'imagination et finalement très pédagogique. Les descriptions de l'univers sont vraiment de qualité.
« Si tu y réfléchis, tu conviendras que toutes les histoires du monde se limitent finalement à vingt-six lettres. Les lettres sont toujours les mêmes, seule leur combinaison change. A partir des lettres on forme des mots, à partir des mots des phrases, à partir des phrases, des chapitres, à partir des chapitres, des histoires. »

Partenariats avec Les éditions Points Merci aux éditions Points et à Livraddict

Genre : roman

Quatrième de couverture :
Ils exagèrent, tous ces retraités. À Washington, entre villas de luxe et terrains de golf, ils sont de plus en plus nombreux à vivre aux crochets de la jeune génération. Aidée par un sénateur assoiffé de pouvoir, Cassandra, conseillère en communication et bloggeuse révoltée, déclare la guerre aux baby-boomers. Son arme ? Le "transitionnement volontaire", comprenez : le suicide assisté...

Mon avis : Cette lecture a été très laborieuse pour moi et ce depuis le début. Je me suis dis que comme ma lecture précédente j'allai certainement me laissé entrainer.... mais non. Au bout d'une centaine de pages, j'ai été un peu plus intéressé pour de nouveau replongé dans une inattention certaine. Je me suis souvent demandé ce que j'étais en train de lire, qui était tel ou tel personnages, quels étaient leurs liens... Il faut bien savoir que je ne remet pas en cause l'écriture de l'auteur, si je trouvais le sujet de ce livre attractif car d'actualité, je n'ai pas aimé la façon dont il a été traité. Ceci dit, encore une fois, le contexte dans lequel a inséré l'auteur le sujet des retraites et très cohérent! A savoir : la course à la présidence : projet de loi pour le « départ anticipé », de quel façon obtenir le soutien des politiques et des votants. Tout ça parait très logique mais bien trop politique pour moi. La politique n'est vraiment pas un sujet qui me passionne, dans la vie ça me passe même plutôt au dessus, je me sens assez peu concerné (je m'y intéresse à ma mesure), le livre étant immergé dans les intrigues politiques m'a lassé. Je n'ai pas réussi à me raccrocher aux personnages auxquels je n'ai jamais réussi à m'identifier ou même à trouver horribles ou drôles. Sur la couverture, un journaliste annonce que l'auteur est l'un des plus drôles de son pays, jamais je n'ai esquisser un sourire, ça m'a manqué, pourtant l'idée est assez excellente je trouve. Je pense que ce livre n'était juste pas fait pour moi : politique, manipulation, chantage, ne sont pas des mots qui me mettent à l'aise.

Partenariat avec la maison d'éditions : CALMANN-LEVY. Merci!
Et merci aussi à Livraddict de permettre que ces partenariats soient possibles!


Genre : Thriller

Quatrième de couverture :
Cinq petites filles ont disparu.
Cinq petites fosses ont été creusées dans la clairière.
Au fond de chacune, un petit bras, le gauche.

Depuis qu ils enquêtent sur les rapts des fillettes, le criminologue Goran Gavila et son équipe d agents spéciaux ont l impression d être manipulés. Chaque découverte macabre, chaque indice les mènent à des assassins différents. La découverte d un sixième bras, dans la clairière, appartenant à une victime inconnue, les convainc d appeler en renfort Mila Vasquez, experte dans les affaires d enlèvement. Dans le huis clos d un appartement spartiate converti en QG, Gavila et ses agents vont échafauder une théorie à laquelle nul ne veut croire : tous les meurtres sont liés, le vrai coupable est ailleurs.
Quand on tue des enfants, Dieu se tait, et le diable murmure...

Un époustouflant thriller littéraire,
inspiré de faits réels.

Mon avis : Si j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire du « Chuchoteur », ça a été pour mieux la dévorer par la suite. Pourquoi ai-je eu du mal? Je me suis d'abord perdu dans la narration, peut être du mal à m'accrocher aux personnages, aux situations, aux lieux... je me suis dit que je n'avais pas l'habitude de ce genre de livre et que ce n'était pas pour moi, j'ai ensuite reporté la faute et mon découragement sur la mise en page... Et puis passe les 100 premières pages, l'équipe arrive dans le QG, découvre le premier cadavre et là j'ai eu un sursaut total d'intérêt, je me suis totalement laissée porter. Jamais l'enquête ne piétine, toujours elle avance avec brio! Les personnages sont bien décrits, l'équipe d'enquêteurs devient attachante. Moi qui n'est pas l'habitude de voir/lire ce genre d'histoire, j'ai adoré voir comment les enquêteurs réfléchissent, interrogent, se remettent en question. J'ai aimé le doute qui s'insère au sein même de l'équipe. Les divers lieux, les ambiances. Certaines scènes sont haletantes, difficile de reposer le livre. Plus on se rapproche de la fin plus les pages tournent vite. J'ai beaucoup aimé la chute, assez ouverte par la suite, peut être pourrions-nous retrouver « nos personnages » dans une prochaine enquête. Ayant terminé le livre, je suis retournée à la première page et j'ai eu le plaisir de voir que si je n'ai pas accroché au début c'était bien moi qui était en cause et non l'auteur qui a toujours su où il allait et qui boucle la boucle! Un Régal (qui m'a cependant offert quelques cauchemars!lol)
En bonus une note de l'auteur de deux pages qui nous renseigne sur ses sources.