Genre: Roman
Quatrième de couverture (édition livre de poche):
Qu'est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd'hui encore? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d'Or version Second Empire? L'existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s'expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l'intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers « assommoirs » - un accident de travail, l'alcool, les « autres », la faim - ont finalement raison d'elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même. Relisons L'Assommoir, cette « passion de Gervaise », cet étonnant chef-d'oeuvre, avec des yeux neufs.
Mon avis: Mon premier Zola, ça ne serra pas le dernier. J'ai eu envie de lire celui-ci après avoir lu la critique de b0uquinS (merci). Il est difficile de parler de ce genre de livre, certains le font beaucoup mieux. J'ai été conquise dès les premières pages, je me suis rapidement pris de sympathie pour Gervaise et j'ai eu envie de la "suivre". La scène du lavoir ma conquise, j'avais l'impression d'y être. Tout au long du livre, on a l'impression d'être avec les personnages, les descritptions sont pourtant loin d'être interminable mais l'ambiance est là! J'ai toujours espéré que ça s'arrange pour l'héroïne, il y a parfois des lueurs d'espoir et on retombe toujours plus bas, et pourtant "s'il n'y avait pas eu ça, s'il ne s'était pas passé ça" etc etc! La fin m'a parru plus longue, Zola décrit un cercle vicieu. J'ai eu beaucoup de peine pour le personnage de Lalie, j'en aurait pleuré sur sa dernière scène! On aimerait une fin plus heureuse, mais "c'est la vie".
Quatrième de couverture (édition livre de poche):
Qu'est-ce qui nous fascine dans la vie « simple et tranquille » de Gervaise Macquart ? Pourquoi le destin de cette petite blanchisseuse montée de Provence à Paris nous touche-t-il tant aujourd'hui encore? Que nous disent les exclus du quartier de la Goutte-d'Or version Second Empire? L'existence douloureuse de Gervaise est avant tout une passion où s'expriment une intense volonté de vivre, une générosité sans faille, un sens aigu de l'intimité comme de la fête. Et tant pis si, la fatalité aidant, divers « assommoirs » - un accident de travail, l'alcool, les « autres », la faim - ont finalement raison d'elle et des siens. Gervaise aura parcouru une glorieuse trajectoire dans sa déchéance même. Relisons L'Assommoir, cette « passion de Gervaise », cet étonnant chef-d'oeuvre, avec des yeux neufs.
Mon avis: Mon premier Zola, ça ne serra pas le dernier. J'ai eu envie de lire celui-ci après avoir lu la critique de b0uquinS (merci). Il est difficile de parler de ce genre de livre, certains le font beaucoup mieux. J'ai été conquise dès les premières pages, je me suis rapidement pris de sympathie pour Gervaise et j'ai eu envie de la "suivre". La scène du lavoir ma conquise, j'avais l'impression d'y être. Tout au long du livre, on a l'impression d'être avec les personnages, les descritptions sont pourtant loin d'être interminable mais l'ambiance est là! J'ai toujours espéré que ça s'arrange pour l'héroïne, il y a parfois des lueurs d'espoir et on retombe toujours plus bas, et pourtant "s'il n'y avait pas eu ça, s'il ne s'était pas passé ça" etc etc! La fin m'a parru plus longue, Zola décrit un cercle vicieu. J'ai eu beaucoup de peine pour le personnage de Lalie, j'en aurait pleuré sur sa dernière scène! On aimerait une fin plus heureuse, mais "c'est la vie".