Jailu

Jailu

Dimanche 7 octobre 2007 à 18:37

Genre: Théâtre

Quatrième de couverture:
Faut que je la recopie...lol


Mon avis: Un texte et des actes très crus, un univers assez déjanté et en fait beaucoup de sensibilité. Des êtres un peu paumés en quête d'amour, d'un groupe, de quelque chose, ils peuvent se révéler tendre mais aussi très cruel, j'aime.

Dimanche 7 octobre 2007 à 18:32

Genre: Théâtre

Quatrième de couverture:
Il fallut seize ans pour que la première pièce importante de Wedekind fût autorisée par la censure allemande. Il avait écrit l'Eveil du printemps en 1890, à vingt-six ans. La pièce fut créée à Berlin en 1906, dans une mise en scène de Max Reinhardt.
Comme les autres grandes pièces de l'auteur de Lulu, désormais un classique du théâtre expressionniste allemand, l'Eveil du printemps ne porte pas son âge. La curiosité infantile, le refoulement sexuel et la répression sur le sexe, la difficulté d'être un adolescent dans un monde de " grandes personnes ", l'éducation autoritaire ou libérale, ce sont les grands thèmes de l'½uvre. Wedekind n'est pourtant pas seulement un auteur " à thèses " comme il voulait être, mais aussi un grand poète de théâtre.
On demeure stupéfait de la jeunesse, de la profondeur et de la présence d'une ½uvre écrite quinze ans avant la publication des Trois essais sur la sexualité de Freud, qui commente la pièce à Vienne, en 1907.
Le lendemain de la mort de Wedekind, en 1918, Brecht écrivait de son ami : " Comme Tolstoï et Strindberg, Frank Wedekind a été un des grands éducateurs de l'Europe moderne. Il semblait indestructible. " Son ½uvre aujourd'hui semble indestructible, chargée de cette " vitalité intense " qu'admirait Brecht.

Mon avis: Une pièce que j'avais déjà vu et qui ne m'avais pas marqué et je suis heureuse de la retrouver. C'est une pièce adolescente avec toutes les questions qui se pose à ce moment là, sexualité, mort... resituer tout ça il y a cent ans et ces questions prenne une autres dimentions et deviennent plus violentes, ajouter que les adolescents avaient une autre éducation et à partir de là une certaine innocence et fraicheur face aux évènement de la vie ça ajoute encore plus e violence. Un très beau texte!

Dimanche 7 octobre 2007 à 18:27

Genre: Roman

Quatrième de couverture
" On biaise, on s'arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s'y attache. C'est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s'accommodent. C'est tellement moins fatigant de s'accommoder... " A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l'on se rend compte - un peu tard - que l'on s'est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d'Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d'accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n'en a pas été capable. Tout au long d'une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché

Mon avis: Trop gentil pour moi, j'aime quand ça éclate plus. Un rythme un peu lent dût je pense au caractère très très intime de ce livre, c'est vrai qu'il s'agit d'une confession. Finalement j'ai eu du mal à trouver ma place dans ce livre.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast