Genre : Jeunesse
Quatrième de couverture :
" La musique était une onde qui me portait. Toujours plus haut. Je me sentais légère, presque éthérée. J'avais la sensation que mes gestes pouvaient s'affiner jusqu'à devenir parfait. "
Anouck, dite Zouck, a une passion : la danse. Qu'elle partage avec sa meilleure amie : Maiwenn. Jusqu'au jour où elle s'éloigne l'une de l'autre. Zouck, obsédée par l'idée de perdre quelques kilos superflus, se coupe du monde. De son côté, Maiwenn, follement amoureuse, devient de plus en plus distante
Mon avis : Encore un roman qui m'a beaucoup touché, celui certainement d'autant plus que je fais également de la danse classique et que j'ai vécu certaines des situations dans lesquelles se trouve Zouck au cours de l'histoire. Si la base de ce roman est la danse et l'anorexie, on y parle aussi d'amitié et du rapport aux parents. Encore une fois je trouve la vision de Pierre Bottero très juste et fine. Si l'histoire de la gamine danseuse classique tombant dans l'anorexie peut paraitre cliché, la façon dont est raconté cette histoire ne l'est pas, car plus que la perte de poids, l'auteur parle du manque, le manque de reconnaissance, le manque de l'amie, le manque de compréhension (ce qui parait être en tous cas). Un très beau livre!
Quatrième de couverture :
" La musique était une onde qui me portait. Toujours plus haut. Je me sentais légère, presque éthérée. J'avais la sensation que mes gestes pouvaient s'affiner jusqu'à devenir parfait. "
Anouck, dite Zouck, a une passion : la danse. Qu'elle partage avec sa meilleure amie : Maiwenn. Jusqu'au jour où elle s'éloigne l'une de l'autre. Zouck, obsédée par l'idée de perdre quelques kilos superflus, se coupe du monde. De son côté, Maiwenn, follement amoureuse, devient de plus en plus distante
Mon avis : Encore un roman qui m'a beaucoup touché, celui certainement d'autant plus que je fais également de la danse classique et que j'ai vécu certaines des situations dans lesquelles se trouve Zouck au cours de l'histoire. Si la base de ce roman est la danse et l'anorexie, on y parle aussi d'amitié et du rapport aux parents. Encore une fois je trouve la vision de Pierre Bottero très juste et fine. Si l'histoire de la gamine danseuse classique tombant dans l'anorexie peut paraitre cliché, la façon dont est raconté cette histoire ne l'est pas, car plus que la perte de poids, l'auteur parle du manque, le manque de reconnaissance, le manque de l'amie, le manque de compréhension (ce qui parait être en tous cas). Un très beau livre!