Jailu

Jailu

Vendredi 24 octobre 2008 à 20:00

Genre: Roman

Quatrième de couverture:
A dix-sept ans, radieuse, prête à toutes les joies, à tous les hasards, Jeanne quitte enfin le couvent. Dans le désoeuvrement des jours et la solitude des espérances, de tous ses rêves, le plus impatient est celui de l'amour...
Oh! elle en sait des choses sur le frémissement des coeurs, l'élan des âmes. Elle les a si souvent pressentis, espérés, ces bonheurs là! Aussi, lorsqu'il paraît, le reconnaît-elle sans peine. L'être créé pour elle! Julien! Le même écho s'éveille en leurs coeurs...
Le mariage scellera leur amour. Mais que sait-elle, lorsque le voile se déchire des grandes étreintes, des secret d'alcôves, des désirs d'hommes? Que sait-elle de l'amour sinon sa poésie? Alors ils se regardent... Les illusions, à peine écloses, déjà se fanent et bientôt ne sont plus. C'est une vie qui se déroule...

Mon avis: J'ai été boulversé par ce livre, c'est un roman remarquable et pour beaucoup de raison. L'écriture est belle et fluide. Les descritpions précises mais pas longues. Les sentiments sont décrit avec une grande vérité. On aime, on déteste les personnages, on se révolte puis on comprend...ou pas. Le roman commence avec "l'héroïne" dans quelque chose de très frais, naïf et glisse de plus en plus dans quelque chose de plus gris. On va de désillusion en désillusion. Le titre n'uarait pû être mieux choisi: c'est la vie tout simplement avec ses joies et ses peines, ses deceptions... A LIRE!!!! vu que j'ai du mal à en parler!lol

Dimanche 19 octobre 2008 à 11:10

Genre: Théâtre

Quatrième de couverture:
Mme Smith: Tiens, il est neuf heures. Nous avons mangé de la soupe, du pisson, des pommes de terre au lard, de la salade anglaise. Les enfants ont bu de l'eau anglaise. Nous avons bien mangé, ce soir. C'est parce que nous habitons dans les environs de Londres et que notre nom est Smith...

Mon avis: La notion de théâtre de l'absurde prend tout son sens à la lecture de ces pièces. J'ai adoré. C'est vraiment jouissif! J'ai nettement préféré La cantatrice chauve à La leçon, mais finalement, c'est le même shéma (et j'ai également pris plaisir en lisant la deuxième pièce). Les personnages font appel à des automatismes de langage, de conduite, sont presque des clones, mais ils restent attachants dans leur connerie!lol C'est loufoque, décalé, encore une pièce que j'aimerais jouer ou mettre en scène!

Vendredi 17 octobre 2008 à 20:37

Genre: Théâtre

Quatrième de couverture:
Ondine, fille des eaux, confiante dans la puissance de l'amour qu'elle éprouve pour le chevalier Hans von Wittenstein zu Wittenstein, accepte le pacte du Roi des Ondins: elle partira et vivra son amour humain, mais, si Hans la trahit, il mourra et Ondine retournera au Lac, perdant jusqu'au souvenir de son existence terrestre. Poétique, étincelante, avec un dialogue d'une rare richesse, Ondine, pièce en trois actes qui met en scène la fragilité des amours humaines, a été créée le 4 mai 1939 au théâtre de l'Athénée, sous la direction de Louis Jouvet qui jouait le rôle du chevalier.

Mon avis: Ah quelle jolie pièce. C'est féérique, poétique, on est transporté. L'écriture est belle et très agréable, le jeu sur le langage est parfaitement maîtrisée. On décèle des notes d'humour dans la construction de certains dialogues mais aussi grâce aux didascalies, j'aimerais beaucoup voir cette pièce montée (ah ah ah!lol). Les personnages sont attachants même dans leur connerie!lol

EDIT Pour b0uquin: Je n'ai pas trouvé la pièce difficile à lire, dans les premières scènes ont à deux ou trois personnages, par la suite il y a des scènes de cour donc avec plus de monde mais ça reste toujours clair selon moi. Les relations entre les personnages sont simples, pas besoin de faire de fiches ;-)

Dimanche 12 octobre 2008 à 10:47

Genre: Roman (mais bon c'est plus un document)

Quatrième de couverture:
Bartabas roman, c'est un portrait d'un homme dont la vraie vie est un roman. Un homme désormais célèbre sous le nom qu'il s'est choisi, Bartabas, mais dont on ne sait strictement rien.
Fondateur du théâtre équestre Zingaro, Bartabas avait toujours refusé jusqu'à présent de révéler quoi que ce soit sur son passé et son itinéraire, depuis sa naissance dans une famille bourgeoise de Courbevoie jusqu'au succès mondial de ses spectacles, du chapiteau d'Aubervilliers aux prestigieuses écuries royales de Versailles.
Il aura fallu que s'instaure un rapport très fraternel entre Jérôme Garcin et Bartabas pour que ce livre puisse exister. Un livre qui est avant tout et à la fois portrait, récit et roman plutôt que biographie.
Au-delà des révélations sur l'homme et son parcours, ce texte très littéraire et très libre donne vraiment à sentir le défi que représente, pour un grand artiste, le fait d'oser mélanger les arts pour créer des spectacles à chaque fois uniques et fugitifs – une forme de nihilisme qui n'est autre que la marque du génie.

Mon avis: On a parfois du mal à savoir comment l'auteur se place, narrateur, personnage, moi ça m'a gêné. Outre le fait que j'ai beaucoup aimé apprendre beaucoup de choses sur la vie de ce personnage fascinant qu'est Bartabas, je n'ai vraiment pas été conquise par le style qui est selon moi trop décousu. Le dernier chapitre tombe dans le pathos et c'est dommage.

Samedi 11 octobre 2008 à 18:27

Un mois d'absence, bouh c'est pas bien, bientôt de nouveaux articles, dès demain je pense.

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