Genre: Théâtre
Quatrième de couverture:
Deux corbeaux sur un arbre s'amusent à observer deux étranges jeunes gens. Elle, c'est Déborah, elle semble blessée, ce qui ne l'empêche pas d'aimer danser. Lui, c'est Marc, il a une corde autour du cou, et il aime surtout compter. Il faudra attendre quatre saisons pour comprendre qui ils sont et ce qu'ils font là, dans cet espace indéterminé. Juste le temps pour eux de dire leur souffrance, et de s'aimer.
Mon avis: Un langage banale mais pas quotidien, le style manque de ... Style justement. On peut trouver de la poésie dans le quotidien mais dans le banale c'est tout de suite plus dur, je m'attendais à quelque chose de plus fort. L'histoire est inétressante, ces deux personnes dans ce monde à part, le leur, cet espèce d'entre deux, mais ça ne décolle pas vraiment (ou très rarement, un passage m'a fait frémir). La relation qui se tisse entre les personnages est très belle mais la présence des deux corbeaux fait retomber l'émotion. Dommage.
Quatrième de couverture:
Deux corbeaux sur un arbre s'amusent à observer deux étranges jeunes gens. Elle, c'est Déborah, elle semble blessée, ce qui ne l'empêche pas d'aimer danser. Lui, c'est Marc, il a une corde autour du cou, et il aime surtout compter. Il faudra attendre quatre saisons pour comprendre qui ils sont et ce qu'ils font là, dans cet espace indéterminé. Juste le temps pour eux de dire leur souffrance, et de s'aimer.
Mon avis: Un langage banale mais pas quotidien, le style manque de ... Style justement. On peut trouver de la poésie dans le quotidien mais dans le banale c'est tout de suite plus dur, je m'attendais à quelque chose de plus fort. L'histoire est inétressante, ces deux personnes dans ce monde à part, le leur, cet espèce d'entre deux, mais ça ne décolle pas vraiment (ou très rarement, un passage m'a fait frémir). La relation qui se tisse entre les personnages est très belle mais la présence des deux corbeaux fait retomber l'émotion. Dommage.