Genre: Théâtre
Quatrième de couverture:
Sofia a le diable au corps. Elle est née ainsi, avec un appétit profond de jouissance. Ses trois mères, scandalisées par ce dérèglement obscène, la mutilent et la bannissent. Commence alors pour elle une longue quête parmi les hommes, à l'endroit et à l'envers du monde. Laurent Gaudé construit ici une pièce qui oscille entre plaisir et frustration, fantasme et mélancolie, désir d'être au monde et crainte de s'y perdre. Dans cet univers tour à tour voluptueux et menaçant, les personnages s'étreignent et se cherchent avec fièvre, mus tout entiers par l'urgence de vivre.
Mon avis: J'ai rencontré Laurent Gaudé jeudi, c'est un homme assez jeune, tout ce qu'il y a de plus charmant et de plus aimable, j'ai découvert son oeuvre avec Médée Kali et je dois dire qu'il y a une nette différence entre ce qu'il semble être et ce qu'il écrit. Ces textes sont d'une beauté mais aussi d'une violence! J'avais été conquise par Médée Kali, par la violence et la passion. Avec Sofia douleur, j'ai été choquée, mal à l'aise, j'essayais d'imaginer ce que l'on pouvais faire d'un tel texte sur le plateau. la pièce est très intéressante, les personnages énigmatiques, ce qui est difficile c'est que les personnages sont des allégories. Une belle pièce courte. Un auteur à découvrir
Quatrième de couverture:
Sofia a le diable au corps. Elle est née ainsi, avec un appétit profond de jouissance. Ses trois mères, scandalisées par ce dérèglement obscène, la mutilent et la bannissent. Commence alors pour elle une longue quête parmi les hommes, à l'endroit et à l'envers du monde. Laurent Gaudé construit ici une pièce qui oscille entre plaisir et frustration, fantasme et mélancolie, désir d'être au monde et crainte de s'y perdre. Dans cet univers tour à tour voluptueux et menaçant, les personnages s'étreignent et se cherchent avec fièvre, mus tout entiers par l'urgence de vivre.
Mon avis: J'ai rencontré Laurent Gaudé jeudi, c'est un homme assez jeune, tout ce qu'il y a de plus charmant et de plus aimable, j'ai découvert son oeuvre avec Médée Kali et je dois dire qu'il y a une nette différence entre ce qu'il semble être et ce qu'il écrit. Ces textes sont d'une beauté mais aussi d'une violence! J'avais été conquise par Médée Kali, par la violence et la passion. Avec Sofia douleur, j'ai été choquée, mal à l'aise, j'essayais d'imaginer ce que l'on pouvais faire d'un tel texte sur le plateau. la pièce est très intéressante, les personnages énigmatiques, ce qui est difficile c'est que les personnages sont des allégories. Une belle pièce courte. Un auteur à découvrir