Jailu

Jailu

Jeudi 6 octobre 2005 à 10:31

Genre: Théâtre

Quatrième de couverture:
Dans une action concentrée, où tout ce qui compte est ce qui n'est pas dit, deux hommes s'affrontent, prennent à tour de rôle la position du dominant ou du dominé, deux amis se brouillent - peut être- "pour un oui ou pour un non".
La tension qui existe sous les mots les plus simple, les mouvements physiologiques et psychiques souterrains communiquent au public une sensation de malaise, en même temps qu'ils fascinent. Car cette dispute est la nôtre, ces mots, nous les avons prononcés, ces silences, nous les avons entendus. Tout un passé refoulé se représente, agressives. Par les mots, nous nous déchirons nous-mêmes, et nous déchirons les autres. Mais le silence est le pire.


Mon avis: Une tout petite pièce de 25 pages il me semble. Je n'ai pas vraiment d'avis à donné... je la relirai certainment car elle m'a laissé de marbre. Je vous la conseil! comme ça vous me donnerez vos avis!lol

Par egonia le Samedi 8 octobre 2005 à 22:11
j'ai vu cette pièce il y a quelque temps. Un vrai plaisir; on rit et en même temps c'est assez tragique tant cela ressemble à la réalité. le théâtre, c'est fait pour être VU ou joué, non ?. Mon bonheur actuel en lecture: tout Laurent Gaudé. Si tu ne connais pas encore son théâtre, commence par SALINA. Bon week-end
Par egonia le Lundi 17 octobre 2005 à 22:24
je t'ai envoyé une page d'un texte de Jean Luc lagarce, mais je ne sais pas si tu l'as bien reçu.
Par nyenna le Mardi 18 octobre 2005 à 16:54
non j'ai rien reçu c'est quoi déjà l'adresse de ton blog? tu me l'as envoyé où?
Par egonia le Mardi 18 octobre 2005 à 21:19
NOUS DEVONS PRÉSERVER LES LIEUX DE LA CRÉATIONNous devons préserver les lieux de la création, les lieux du luxe de la pensée, les lieux du superficiel, les lieux de l'invention de ce qui n'existe pas encore, les lieux de l'interrogation d'hier, les lieux du questionnement. Ils sont notre belle propriété, nos maisons, à tous et à chacun. Les impressionnants bâtiments de la certitude définitive, nous n'en manquons pas, cessons d'en construire. La commémoration elle aussi peut être vivante, le souvenir aussi peut être joyeux ou terrible. Le passé ne doit pas toujours être chuchoté ou marcher à pas feutrés. Nous avons le devoir de faire du bruit. Nous devons conserver au centre de notre monde le lieu de nos incertitudes, le lieu de notre fragilité, de nos difficultés à dire et à entendre. Nous devons rester hésitants et résister ainsi, dans l'hésitation, aux discours violents ou aimables des péremptoires professionnels, des logiques économistes, les co
Par Alexe le Mardi 8 novembre 2005 à 20:01
Moi j'avais bcp aimé quand je l'ai lu l'an dernier pr la fac! j'avais trouvé ca drôle et grave à la fois...
Par Dedalus le Mercredi 8 novembre 2006 à 0:18
Oui à lire ça doit être assez gavant. En revanche je l'ai vu jouée par Arditi et je ne sais plus qui et là ben ça dépote un max, c'est vraiment jouissif de voir ça jouer par des acteurs de cette carrure! :)Mais de manière générale je n'aime pas lire le rhéâtre, c'est quand même fait pour être vu non?
 

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