Genre: Roman
Quatrième de couverture:
Parce qu'il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme va se suicider quand un artiste mégalomane suspend son geste. Il lui propose d'acheter son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire. Le désespéré accepte le pacte et l'opération, se laisse déshumaniser, et exposer aux yeux des foules, sous le nom d'Adam-bis. Mais peut-il abdiquer entièrement son humanité ? Grâce à l'amour d'une jeune-femme, « l'½uvre d'art » tente alors de sortir de l'emprise de son créateur et de retrouver sa conscience perdue. Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l'apparence, le totalitarisme de l'image : le nôtre.
Mon avis: J'ai beaucoup aimé, le ton m'a fait pensé à celui d'Amélie Nothomb. C'est une récit pervers et cruel. C'est intéressant de voir jusqu'où l'homme peut aller, d'autant que c'est un récit possible vu ce que l'on voit maintenant dans l'art contemporain. Bref une réflexion intéressant, un récit captivant. Le passage de l'expo au Japon, bof bof quand même!lol
Quatrième de couverture:
Parce qu'il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme va se suicider quand un artiste mégalomane suspend son geste. Il lui propose d'acheter son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire. Le désespéré accepte le pacte et l'opération, se laisse déshumaniser, et exposer aux yeux des foules, sous le nom d'Adam-bis. Mais peut-il abdiquer entièrement son humanité ? Grâce à l'amour d'une jeune-femme, « l'½uvre d'art » tente alors de sortir de l'emprise de son créateur et de retrouver sa conscience perdue. Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l'apparence, le totalitarisme de l'image : le nôtre.
Mon avis: J'ai beaucoup aimé, le ton m'a fait pensé à celui d'Amélie Nothomb. C'est une récit pervers et cruel. C'est intéressant de voir jusqu'où l'homme peut aller, d'autant que c'est un récit possible vu ce que l'on voit maintenant dans l'art contemporain. Bref une réflexion intéressant, un récit captivant. Le passage de l'expo au Japon, bof bof quand même!lol