Genre : Roman
Quatrième de couverture:
" Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins. Mon péché, mon âme. Lo-lii-ta : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais pour taper, à trois reprises, contre les dents. Lo. Lii. Ta.
Le matin, elle était Lo, simplement Lo, avec son mètre quarante-six et son unique chaussette. Elle était Lola en pantalon. Elle était Dolly à l'école. Elle était Dolorès sur les pointillés. Mais dans mes bras, elle était toujours Lolita. "
Mon avis: Beaucoup de sentiments ce mêle à la lecture de ce roman, beaucoup de perversité, d'érotisme, de tendresse, de folie... il faut le lire pour comprendre mais on est prit du début à la fin par le récit de cet homme qui aime une enfant, pas si innocente que ça. Les deux personnages s'enfoncent dans une spirale infernale et n'en sortent plus. Selon moi, c'est magnifique.
"Lolita a été porté à l'écran par Stanley Kubrick (1962), puis par Adrian Lyne (1997)."
Personellement je préfère la version de Adrian Lyne qui est beaucoup plus forte et proche du roman que celle de Kubrick ou Lolita parraît déjà trop vieille et où la censure retire trop au côté pervers et malsain qu'on trouve dans le livre.
Quatrième de couverture:
" Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins. Mon péché, mon âme. Lo-lii-ta : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais pour taper, à trois reprises, contre les dents. Lo. Lii. Ta.
Le matin, elle était Lo, simplement Lo, avec son mètre quarante-six et son unique chaussette. Elle était Lola en pantalon. Elle était Dolly à l'école. Elle était Dolorès sur les pointillés. Mais dans mes bras, elle était toujours Lolita. "
Mon avis: Beaucoup de sentiments ce mêle à la lecture de ce roman, beaucoup de perversité, d'érotisme, de tendresse, de folie... il faut le lire pour comprendre mais on est prit du début à la fin par le récit de cet homme qui aime une enfant, pas si innocente que ça. Les deux personnages s'enfoncent dans une spirale infernale et n'en sortent plus. Selon moi, c'est magnifique.
"Lolita a été porté à l'écran par Stanley Kubrick (1962), puis par Adrian Lyne (1997)."
Personellement je préfère la version de Adrian Lyne qui est beaucoup plus forte et proche du roman que celle de Kubrick ou Lolita parraît déjà trop vieille et où la censure retire trop au côté pervers et malsain qu'on trouve dans le livre.