Genre: Théâtre
Quatrième de couverture:
Octave, bohème et libertin, plaide auprès de Marianne, sa cousine par alliance, la cause de son ami, le timide et romanesque Coelio. Mais il n'obtient d'autre résultat que d'intéresser la jeune femme en sa propre faveur. Par « caprice », elle lui offre un rendez-vous. Octave alors s'efface au profit de Coelio, mais le fait ainsi tomber dans un guet-apens. Drame de l'amitié autant que drame de l'amour, les Caprices sont surtout le drame de l'identité perdue Coelio est le double d'Octave ; Octave est « une autre Marianne ». Le chassé-croisé des personnages, divaguant comme Octave toujours ivre, errant comme Coelio définitivement perdu dans ses rêves, ou trottant comme Marianne allant et venant de chez elle à l'église au rythme des heures canoniales, fait du caprice à la Goya la figure même d'un destin cruel et absurde.
Mon avis: J'avais voulu lire cette pièce il y a deux, trois ans pour la culture théâtrale personelle, jen'avais aps accroché. Je passe le concours du conservatoire de Rouen pour entrer en classe d'art dramatique en Septembre et la scène classique doit être une des scènes de cette pièce alors... je l'ai lu, relu!lol C'est une pièce courte, facile à lire. Au niveau de la dramaturgie c'est assez simple. Il y a de jolis moments, tout en sincérité. Personellement, j'aurais aimé que les personnages est plus d'épaisseur. Cette pièce est définie comme comédie, moi je dirais plutôt que c'est un tragédie.
Quatrième de couverture:
Octave, bohème et libertin, plaide auprès de Marianne, sa cousine par alliance, la cause de son ami, le timide et romanesque Coelio. Mais il n'obtient d'autre résultat que d'intéresser la jeune femme en sa propre faveur. Par « caprice », elle lui offre un rendez-vous. Octave alors s'efface au profit de Coelio, mais le fait ainsi tomber dans un guet-apens. Drame de l'amitié autant que drame de l'amour, les Caprices sont surtout le drame de l'identité perdue Coelio est le double d'Octave ; Octave est « une autre Marianne ». Le chassé-croisé des personnages, divaguant comme Octave toujours ivre, errant comme Coelio définitivement perdu dans ses rêves, ou trottant comme Marianne allant et venant de chez elle à l'église au rythme des heures canoniales, fait du caprice à la Goya la figure même d'un destin cruel et absurde.
Mon avis: J'avais voulu lire cette pièce il y a deux, trois ans pour la culture théâtrale personelle, jen'avais aps accroché. Je passe le concours du conservatoire de Rouen pour entrer en classe d'art dramatique en Septembre et la scène classique doit être une des scènes de cette pièce alors... je l'ai lu, relu!lol C'est une pièce courte, facile à lire. Au niveau de la dramaturgie c'est assez simple. Il y a de jolis moments, tout en sincérité. Personellement, j'aurais aimé que les personnages est plus d'épaisseur. Cette pièce est définie comme comédie, moi je dirais plutôt que c'est un tragédie.