Genre : Roman autobiographique

Quatrième de couverture :
Souvent les enfants s'inventent une famille, une autre origine, d'autres parents. Le narrateur de ce livre, lui, s'est inventé un frère. Un frère aîné, plus beau, plus fort, qu'il évoque devant les copains de vacances, les étrangers, ceux qui ne vérifieront pas... Et puis un jour, il découvre la vérité, impressionnante, terrifiante presque. Et c'est alors toute une histoire familiale, lourde, complexe, qu'il lui incombe de reconstituer. Une histoire tragique qui le ramène aux temps de l'Holocauste, et des millions de disparus sur qui s'est abattue une chape de silence. Psychanalyste, Philippe Grimbert est venu au roman avec La Petite Robe de Paul. Avec ce nouveau livre, couronné en 2004 par le prix Goncourt des lycéens et en 2005 par le Grand Prix littéraire des lectrices de Elle, il démontre avec autant de rigueur que d'émotion combien les puissances du roman peuvent aller loin dans
l'exploration des secrets à l'½uvre dans nos vies.

Mon avis : Bien que le sujet soit brûlant, je n'ai pas réussi à accrocher. Il s'agit d'un roman autobiographique et j'ai souvent eu l'impression que l'auteur était trop absent pour m'emmener dans son histoire. Son histoire et celle de sa famille est pourtant touchante mais je n'ai rien ressenti. Je me suis sentie spectatrice, à l'écart et je crois que j'aurai vite oublier cette lecture.

Genre : Contes

Quatrième de couverture :
Voici les cinq contes de fées qui bercent l'enfance des jeunes sorciers. Chacun a sa magie particulière qui enchantera les lecteurs et les fera tour à tour rire ou frissonner. Les commentaires passionnants et malicieux du professeur Albus Dumbledore qui accompagnent chaque récit seront appréciés des sorciers comme des Moldus. Le professeur donne de nombreuses clefs et dévoile, par la même occasion, maint détail de la vie à Poudlard.

Mon avis : Rien de bien transcendant dans ces contes qui sont sur le modèle des contes moldus finalement!lol Mais c'est agréable de se replonger non seulement dans un univers enfantin mais également magique. J'ai aimé les commentaires de Albus Dumbledore qui donne une certaine véracité et authenticité à ces contes. Les deux contes que j'ai préféré sont celui de la fontaine et celui des trois frères.

Genre : Bandes dessinées

Présentation de l'éditeur :
Des scénaristes, des dessinateurs, des coloristes réunis autour d'un petit dénominateur commun : les Korrigans ! Venus des dolmens et des récifs d'Armorique, les facétieux lutins nous emmènent dans une folle gavotte pour nous conter, à leur manière, les récits qui ont forgé l'âme bretonne.

Mon avis : C'est difficile de donner mon avis, c'est la première fois que je poste un avis sur une Bd ici et je ne sais pas trop comment m'y prendre et j'ai très peu de moyen de comparaison. J'ai aimé me plonger dans un bande dessinée, je n'en avais plus l'habitude depuis longtemps mais celle-ci est facile à lire, je veux dire par là qu'on situe bien les cases et les bulles. (j'ai l'air bête là non?lol). Un tome regroupe en faites plusieurs histoires/légendes (trois) raconté par le même conteur : un Korrigan. On retrouve dans les différents tomes des allusions ou des personnages des histoires racontés précédemment. Chaque tome se base sur un thème ou un personnage qui sera développé au cours des trois histoires. Etant Bretonne de coeur, j'ai aimé retrouver cet univers celtique avec ses mythologie, j'ai aimé également que du vocabulaire breton soit intégré et traduit! Je pense que je lirai les autres tomes par la suite, j'ai bien aimé les dessins. Bien sûr certains univers, certaines histoires m'ont plû plus que d'autres. Je souhaite lire dans bandes dessinés qui ont unité d'histoire (ça se dit ça?) même si le découpage ici est assez plaisant.
OUF, euh... je m'en tire comment?lol

Genre : Roman

Quatrième de couverture :
" - Marron, c est pas la couleur des vraies princesses ! Dans mes livres, les princesses sont blanches avec de longs cheveux blonds. Camille, mon grand-oncle, lève les yeux au ciel :
- Boudiou, et la reine de Saba, alors ? Elle était marron comme toi ! Reine, c'est autre chose que princesse, non ? "
Maya est une petite fille différente. Sa mère est blanche et son père est noir. Un père qu'elle n'a jamais connu et qu'elle cherchera toute sa vie. Plus tard, sa mère se marie et Maya doit vivre son métissage dans une famille où tout le monde est blanc. Fais danser la poussière est une histoire poignante sur les secrets de famille et la difficulté d'être " à part ".

Mon avis : Je pensais que la danse prendrait plus de place dans ce roman. Si la danse devient importante pour l'héroïne, que l'on suis de ses neufs ans jusqu'à son accomplissement d'adulte, c'est la quête d'identité qui prime. J'ai été très touché par ce roman. Des moments sont vraiment émouvant. Cette petite fille qui grandit dans une famille de blanc où son père n'est pas le sien, où ses frères et soeur ne lui ressemblent pas, où sa maman refuse de lui parler de ses origines malgré leur relation pleine de tendresse et privilégié. Le personnage de Rose est plus complexe qu'elle n'apparaît au premier abord et j'ai aimé la découvrir. L'histoire est raconté par Maya et on sent beaucoup de spontanéité dans la plume de l'auteur. J'ai aimé la sensation d'être dans une bulle féminine. Plus on avance plus le ton devient nostalgique, certains passages sont un peu amers mais on retient également les moments de bonheur, quand Maya découvre la danse, c'est très beau. J'ai apprécié cette lecture et je pense lire d'autres oeuvres de cette auteur.