Genre : Contes

Quatrième de couverture :
La rue Broca n'est pas une rue comme les autres.
Bien qu'à chacune de ses extrémités elle débouche sur Paris, elle n'est pas tout à fait Paris. Peu éloignée, mais sur un autre plan, souterraine en plein air, elle constitue, à elle seule, comme un petit village. Voici quelques années, un curieux personnage se mit à hanter cette rue. Mal vêtu, mal rasé, écrivain sans lecteurs, il disait s'appeler Monsieur Pierre. Mais les enfants de la rue Broca eurent tôt fait de le démasquer : c'était en réalité une vieille sorcière ! De la rencontre entre cet homme et cette rue sont nés les contes de ce recueil, tentative de définir une sorte de folklore urbain du vingtième siècle.

Mon avis : Des contes que me lisait ma maman quand j'étais petite. Des contes modernes mais néanmoins féériques! Beaucoup d'humour, de tendresse et de magie dans ses contes! Les sorcières sont de vraies méchantes qui n'ont ceci dit pas beaucoup de chance! L'écriture est très chouette, les histoires orignales et diversifiées avec des héros très différents... Si vous ne connaissez pas encore, il est temps!!!

Genre : Nouvelles

Quatrième de couverture :
Dans la vitrine du marchand de merveilles, un bric-et-broc somptueux éblouit les écoliers : le porte-savon de Marat voisine avec le stylographe du traité de Campo-Formio, le moulin ù café de la Du Barry avec les charentaises de Berthe au grand pied. Au milieu de cet assemblage hétéroclite, les bottes de sept lieues... Qui en deviendra l'heureux propriétaire ? Antoine, l'enfant pauvre, n'ose même pas rêver à semblable bonheur... Trois nouvelles merveilleuses, drôles et surprenantes, où l'on retrouve l'imagination et le style inimitable de Marcel Aymé.

Mon avis : Petite j'avais vu une adaptation à la télévisiond Des Bottes de sept lieues, j'ai été marqué par ce téléfilm étrange, enfantin, sombre et en même temps plein de magie. Une magie qui n'est pas explicite qui tient plus dans les coeurs. Lors du swap féérie j'ai eu l'envie de faire découvrir cette histoire à mon swappé, j'ai donc acheté ce petit livre que j'ai lu avant de lui envoyer pour voir si l'oeuvre originale était aussi tendre et magique que la version télévisée. C'est le cas! j'ai beaucoup aimé retrouver ses personnages, des enfants aux parents, du personnage d'Antoine à sa maman si à part... J'ai également beaucoup aimé les autres nouvelles, si les histoires ont pour héro des enfants, le style est soignée et vraiment très agréable! j'ai été séduite!

ça fait longtemps que je ne vous ai pas parlé oh lecteurs. Le 22 Mai je passais un entretien au pôle métiers du livre de Saint Cloud pour faire un DUT métiers du livre en année spéciale à la rentrée. J'ai reçu lundi mon admission! J'en suis vraiment très heureuse!

Genre : Jeunesse

Quatrième de couverture :
Le 7 juillet 1942, Hannah Goslar sonne chez son amie Anne et découvre avec stupeur que la maison est vide. La famille Frank a quitté Amsterdam - sans doute pour se réfugier en Suisse, dit un voisin. À cause des lois anti-juives, le quotidien d'Hannah devient chaque jour plus difficile. Puis tout bascule une nuit de juin 1943, lorsque des soldats nazis frappent à sa porte...

Mon avis : Un énième livre sur le sujet mais je ne m'en lasse pas, c'est une période qui m'intéresse beaucoup! Cette fois, c'est le point de vue de l'une des camarades de classe de Anne Frank, une façon d'aborder cette période de l'histoire pour des plus jeunes aussi, car Le Journal d'Anne Frank ets certainement difficile et peu accessible avant les grandes classes du collège (et encore j'ai envie de dire). Beaucoup d'anecdotes qui nous parle du quotidien de ces fillettes avant la guerre, leur façon d'apréhender la guerre et les fuites possibles, des discussions sur lesquelles survivront ou non... et pas forcément celles qu'on croit. Le quotidien des petites filles dans les camps, leur espoir, leur chagrin, leur peur. La scène où les deux fillettes se parlent de part et d'autre d'un grillage est très émouvante. J'ai apprécié.

Partenariat avec les maisons d'éditions Le Livre de Poche et Livraddict.
Merci à Le Livre de Poche de m'avoir permis de découvrir ce livre et merci à Livraddict pour leur travail!

Genre : Jeunesse

Quatrième de couverture :
Bastien Baltazar Bux a douze ans. Orphelin de mère, élevé par son père absent, il s'évade de son quotidien grâce à sa passion pour la lecture. Un matin, il entre dans une librairie et dérobe un livre ancien. Un livre pas comme les autres, qui décrit un monde peuplé d'elfe et de monstres... Mais le Pays Fantastique est rongé par un mal étrange et vit une lente agonie. Un héros, Atréju, ets nommé par la Petite Impératrice, souveraine incontestée, pour accomplir une grande quête : trouver un remède afin de sauver le monde. Et voilà que Bastien, irrésistiblement passe de l'autre côté du miroir et entre dans l'histoire, l'histoire sans fin...

Mon avis : J'ai un avis un peu mitigé sur ce livre. J'ai eu envie de le lire car je regardais le film quand j'étais petite, film dont j'ai assez peu de souvenir au bout du compte, mais ce partenariat était également le moyen de me rafraichir la mémoire. La première partie du roman est la partie qui a été adapté et je l'ai lu assez rapidement avec le plaisir de retrouver les images qui m'avaient plu enfant. La deuxième partie a été plus laborieuse, Bastien entre dans l'histoire et les deux premiers chapitres (à peu près) de son arrivée dans l'histoire m'ont semblé longues et ennuyeuses! Après l'aventure a repris un rythme qui me convenait mieux, notamment avec l'arrivée de nouveaux personnages. La différence entre la première et la deuxième partie tient surtout de la position des personnages, dans la première partie Bastien est spectateur pour devenir ensuite non seulement acteur mais héros de l'histoire. Un héros bien antipathique et capricieux par ailleurs. Une autre différence encore, dans la première partie Atréju rencontre des personnages que l'on suit le temps d'un chapitre, dans la deuxième partie, les personnages sont présents sur plusieurs chapitres, ce qui m'a bien plu. Dans l'ensemble j'ai trouvé que les personnages bien que physiquement bien décrit (cela vaux surtout pour les créatures!), avaient parfois un caractère trop constant et prévisible, ce qui a valu que je ne me suis jamais attachée aux personnages. Dans la première partie et à la fin du roman, nous avons l'histoire dans la vie réelle et tout du long l'histoire du Pays Fantastique, les allées/retours se font facilement grâce aux changement de police d'écriture, quand nous sommes dans le monde des humains, la police est en gras. J'ai aimé également les gravures à chaque début de chapitre mettant en valeurs une lettre de l'alphabet entouré de dessin qui représente par exemple un personnage qui va intervenir. J'ai aimé la vision que l'auteur à de son histoire et des histoires. Ce livre avec ces différentes mises en abimes, sa construction constante, est un trésor d'imagination et finalement très pédagogique. Les descriptions de l'univers sont vraiment de qualité.
« Si tu y réfléchis, tu conviendras que toutes les histoires du monde se limitent finalement à vingt-six lettres. Les lettres sont toujours les mêmes, seule leur combinaison change. A partir des lettres on forme des mots, à partir des mots des phrases, à partir des phrases, des chapitres, à partir des chapitres, des histoires. »